
Pour des milliers de migrant-e-s sans papiers vivant au Canada, des villes comme Montréal, Toronto et Vancouver sont de véritables ateliers de misère. Les migrant-e-s et les réfugié-e-s occupent les emplois les plus précaires et les plus dangereux. L’économie canadienne ne peut survivre sans cette main-d’œuvre aisément exploitable et hyper-vulnérable...